mercredi 3 octobre 2012 à 19h
TECHNOlogos
Marseille - Aix
association loi 1901
Contrôlons nous encore nos techniques ou en sommes-nous devenus les esclaves ?
Au fil des siècles, l'homme a conçu ses outils dans le but d'améliorer sa condition.
Or force est de constater que ceux-ci contrarient aujourd'hui sa sécurité, son confort et sa liberté bien plus qu'ils ne se mettent à son service.
On peut ainsi se poser un certain nombre de questions
(... parmi beaucoup d'autres : http://technologos.fr/documents/manifeste.pdf) :
- Pourquoi, par exemple, l'homme ne sait-il pas arrêter ses centrales nucléaires lorsqu'elles échappent à son contrôle ?
- Pourquoi, dans le monde du travail, se proclame t-il toujours "acteur" mais jamais "responsable" quand survient un accident ?
- Pourquoi laisse t-il les robots-traders faire la loi à Wall Street et sur l'ensemble de l'économie mondiale ?
- L'homme est-il devenu, à son insu, le "serviteur volontaire" de ses propres techniques ?
- Leur est-il aliéné ?
Toutes ces questions, quelques citoyens se les posent régulièrement et nous en faisons partie.
Nous nous engageons sans nostalgie ni réflexe technophobe; animés seulement par un esprit critique que nous avons du mal à percevoir autour de nous, tant dans la sphère politique que dans les milieux intellectuels et militants.
C'est pourquoi, dans le cadre de l'association TECHNOlogos http://technologos.fr, nous vous inviterons bientôt à participer à quatre débats publics consacrés au rôle décisif joué par la technique dans les grands mouvements de crise :
- la crise environnementale (novembre 2012)
- la crise économique (janvier 2013)
- la crise de la représentation politique (mars 2013)
- la crise des valeurs (mai 2013)
Nous vous convierons également à participer à différents séminaires portant sur les possibilités restant aux citoyens en vue d'enrayer l'idéologie technicienne.
Ces échanges se dérouleront alternativement à Marseille et Aix-en-Provence.
Vous y êtes cordialement les bienvenus.
Présentation du programme 2012-2013
Sortie(s) de crise(s) et inscription aux séminaires
Source : message reçu le 22 septembre